Il a suffi de quelques coups de feu à l'extérieur, alors qu'une conférence avait commencé, lançant la fête d'indépendance de cette jeune république, pour enclencher les scènes de désastres guerriers : les réfugiés paniquent et cherchent des refuges, le rapatriement des civils Ougandais s'organisent...

Il y a eu quand même des morts par centaines dans la capitale, Juba.

Mais très vite, le président lance un appel au calme.

Dans la foulée : les Américains qui ont dépêché quarante-six de leurs soldats pour sécuriser leur ambassade et, les Français se disent préoccupés !

Une guéguerre de plus chez le voisin, le Sud Soudan !

donc, le pauvre voisin de la Centrafrique, le Sud Soudan, est encore éprouvé, depuis quelques cinq jours déjà. C’est lassant, épuisant pour les populations civiles surtout qui sont, une fois de plus, jetées sur les routes de l’exil et des abris précaires des refuges.

Dans ce marigot africain, fourmillant de «crocodiles», on finit par se demander qui tient la «queue de qui » et tente vainement de tuer ces deux frères dans une guéguerre fratricide qui finira par les emportera l’un après l’autre, avant que le plus gros des crocodiles, tapis dans l’ombre emportera cette partie du Soudan avec le pétrole et zone agraire.

Dans cette situation, la diplomatie fonctionne à plein régime et fait remonter les vieilles amitiés africaines destinées à peser sur les décisions profitables.

Alors que le représentant de l’ONU, M. Ban Ki Moon se dit fatiguée et, il y a de quoi, les nouvelles personnalités montantes font apparaitre dans l’équipe de l’ONU, un français, connu en Centrafrique et, maintenant le voilà présent au sud Soudan, M. Ladsous. A se demander s’il n’y a pas de diplomatie parallèle en Afrique, comme au temps de M. Pasqua ; mais que maintenant elle passe également et même légalement, par l’organisme international ONU. On peut remarquer comment cet organisme international est truffé de personnalités françaises, alors que celle-ci est sensée être neutre dans l’intérêt supérieur de tous les peuples du Monde.

Ils voulaient fêter seulement leur indépendance. Qui a donc appuyé sur le bouton "guerre", cette fois ?...
Ils voulaient fêter seulement leur indépendance. Qui a donc appuyé sur le bouton "guerre", cette fois ?...
Ils voulaient fêter seulement leur indépendance. Qui a donc appuyé sur le bouton "guerre", cette fois ?...

Ils voulaient fêter seulement leur indépendance. Qui a donc appuyé sur le bouton "guerre", cette fois ?...

Or, que peut-on craindre quand on regarde le passé ?

Si on se réfère aux archives de presse françaises (infos du Monde, Survie,…), des méthodes françaises du passé dans ce coin du monde, n’ont jamais avantagé les Noirs du sud Soudan. Des fait avaient défrayé la chronique ; à savoir des services rendu aux ennemis du sud Soudan ; en effet, la France avait rendu des grands services au gouvernement de Khartoum, en entrainant ses troupes islamistes en contre partie de quoi, rappelons le, M. Pasqua C, feu ministre français. avait obtenu l’extradition de Carlos, le terroriste Allemand, réfugié à Khartoum et, de plus, il avait aidé les dirigeants islamistes soudanais notamment en les faisant passer par le ex-Zaïre de M. Mobutu, la Centrafrique pour venir réprimer les chrétiens et animistes du sud Soudan…

A se demander si les Africains ont quelque once de solidarité noire les uns envers les autres ! Ne serait-ce qu’en souvenir d’un passé de «l’ère des empires» sur le continent noir

Une guéguerre de plus chez le voisin, le Sud Soudan !
Une guéguerre de plus chez le voisin, le Sud Soudan !

Tout le monde espère, pour nos voisins, que l’appel au calme prononcé par son président et les mesures de sécurité drastiques d’embargo sur les armes annoncées par le représentant de l’ONU, sera compris par les deux camps et leurs alliés. Notons que la France qui a vendu plus d’armes que les Etats Unis, en 2015 surtout aux pays pétroliers, sera se retenir pour ne pas passer outre cette injonction de sécurité intéressant toute cette région de l’Afrique.

Bref, les appels au calme rapide signifierait-il que les pays Noirs aurait-ils enfin compris que quelques coups de feu tirés par quelques membres de la troupe soudoyée ne veut pas dire forcément "aux armes !" mais "on veut notre pétrole" !

Une guéguerre de plus chez le voisin, le Sud Soudan !
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